En tant que souscripteur d’un contrat d’assurance-vie, pensez à faire évaluer la rédaction de la clause bénéficiaire de votre contrat pour l’adapter au mieux à votre situation patrimoniale.
Un enjeu qui peut se chiffrer à plusieurs milliers d’euros de gains pour les bénéficiaires !
— prévoir la représentation des bénéficiaires pour prévenir la situation de prédécès ou de renonciation
— utiliser des termes neutres dans la rédaction. En effet, si la volonté de transmission est manifeste, les capitaux pourraient être soumis aux droits de succession ! (et le barème peut aller jusqu’à 45% entre parents et enfants!)
— être précis dans la désignation des bénéficiaires (identité complète, date de naissance et adresse). – fin 2018, 11 milliards d’euros sont en déshérence auprès des banques et assurances faute d’identification du bénéficiaire ou de réclamation… et terminer la rédaction par “à défaut mes héritiers légaux” juste au cas où !
— penser au démembrement de propriété pour protéger un premier bénéficiaire tout en assurant la transmission à un second bénéficiaire. Et vous pouvez même imposer l’investissement commun après votre décès.
Vous pouvez inscrire la clause au contrat directement ou bien la rédiger par testament. Dans ce dernier cas pensez à prévenir la compagnie d’assurance de l’existence de votre testament pour que vos volontés soient respectées.
Patrimonil peut vous aider à rédiger votre clause afin qu’elle réponde à vos souhaits, optimise la transmission aux bénéficiaires et surtout qu’elle soit exempte de mauvaises surprises!
Le 10 juin 2019